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Dans les environ de 19h30, Akiro avait invité Juliet pour leur fameuse enquête de corruption sur ces supérieurs hiérarchique. Il avait fait quelque préparation, mais avait besoin de peaufiner deux trois choses avec la journaliste. Il attendais patiemment cette dernière en fumant a son balcon et en profitant du couché de soleil. Il profita de ce manque de sommeil que son pouvoir lui donné pour en apprendre d'avantage sur deux personnes en fouillant leur dossier, Katherine Beauchamps et sa collègue a ces heures perdu, Juliet Hopkins. Pour Katherine c'était très court mais plutôt intéressant, présumé être un chef de gang, suspecté de divers délit et de crime, tous on était acquitté. Pour Juliet, le casier est totalement vierge, ce qui le surprenait étrangement. Les deux dossiers était posé sur la table basse du salon. Il jeta sa clope de son balcon, et rentra dans son appartement, en attendant son invité.

Juliet s'était plutôt bien préparée. Elle ignorait à quel point il voudrait faire quelque chose de compliqué, alors dans le doute elle avait prit des affaires utiles. Habillée d'un t-shirt à manche longue, d'un jeans serré et de chaussure de marche, elle n'était pas des plus glamours mais au moins ne risquait pas de laisser de trace. Sans compter que, dans un petit sac, elle avait cagoule et gant, juste par sécurité. Ce n'était pas s'introduire chez une petite peste de la classe pour fouiller dans son journal intime, mais forcer un commissariat, dirigé par le gouvernement.

Elle trouva sans problème l'adresse de l'inspecteur et sonna. Qu'avait-il pu bien préparer. Mais Juliet était malgré tout contente de sortir enfin, tout ce GRN lui avait occupé pas mal de temps. Elle allait pouvoir collecter des informations malgré son nouveau rôle.

En entendant la sonnerie de la porte sonné, il éteignait sa cigarette et ouvrit sa porte, son invité était enfin arrivé. Il ne montrait aucun sentiment comme a son habitude, et regarda rapidement la journaliste. Il remarqua le petit sac de la jeune femme, surement ces papiers.

Bien le bonjour mademoiselle Jenkins. Finalement changement de plan, on fait pas de vol, et j'ai récupéré le dossier de votre cher amie.

Akiro indiqua d'un signe de la main, l'invitation a entré, en direction du salon. Une légère odeur de cigarette ce fit sentir. Il remarqua rapidement le dossier a propos de Juliet et ne ce cacha pas.

Pour ca, je préfère être vigilant. On ne sais jamais avec qui on travail.

Pas de vol? Mais que feraient-ils alors? Etait-ce un traquenard? Juliet entra dans l'appartement, un brin méfiante. Sans compter qu'elle remarqua immédiatement son dossier. Il n'avait probablement pas trouvé grand chose dedans, personne n'avait porté plainte contre elle à ce qu'elle savait. Ce ne voulait clairement pas dire qu'elle était toute blanche, simplement qu'elle avait su éviter les problèmes.

- "Pas de vol hein? Alors que faisons-nous?" dit-elle en s'asseyant sur une chaise

Elle lui sourit par politesse mais elle était prête à se battre si il voulait l'enfermer. Juliet ne voyait pas qui pourrait bien vouloir la piéger, si ce n'est Katherine? Il était impossible qu'elle sache pour la journaliste...

- "Merci pour le dossier de Katherine et merci de votre confiance en moi, ça me touche vraiment" ironisa-t'-elle un peu

Juliet attendait que Akiro explique ses objectifs.

Akiro regarda a nouveau Juliet, il ce doutait qu'un changement de plan de dernière Il minutes ne ferai pas réellement plaisir. Il ferma la porte et ce retourna vers la journaliste. Le plan était plus simplifié pour prendre vraiment aucun risque.

Simplement que j'ai empreinte les dossiers. Et en échange de celui de Katerine, vous diffusez ceci. *montre une clé* ça simplifie vraiment les choses. Puis désolé je ne peux pas réellement faire confiance à quelqu'un dans ce genre de situation.

Akiro prit une de ces chaises et attendit la reaction de Juliet.

Le vicieux... Il refusait que Juliet aille elle-même fouiller dans les archives. Ce n'était pas du jeu! C'était ce qui était convenu à la base, et monsieur change les plans à la dernière minute. C'était très désagréable. Juliet prit une grande inspiration pour se calmer. Au moins, elle avait le dossier de Kat.

- "Ce n'est pas ce qui était prévu... Qui y a-t'il dans cette clé?"

C'était probablement les preuves de la corruption de son patron, mais rien de passionnant. Toutes ces informations juteuses qui se trouvaient à portée de ses petites mains, bloquée par cet petit inspecteur... Elle avait l'air bien maligne désormais avec la cagoule et les gants dans son sac...

Avec un léger sourire sur son visage, le petit inspecteur trouva cette scène amusante. Son instinct ne c’était pas trompé a nouveau. Elle avait plus intention d'utilisé cette mine d'information au lieu de prendre uniquement le dossier de l’intéressé.

Désolé mais j'ai repensé a tout cela au calme, et au final c'est une mauvaise idée de laissé un civil la dedans. Désolé. Et dans cette clé ce trouve les informations nécessaire pour la corruption de la police. Ça ne vous rapportera pas un pulitzer mais ça vous permettrez d'avoir une très bonne "première page".

Akiro ne connaissait absolument rien au monde du journalisme et avait surement ces propres idées enfantine.

- "Je vois..."

Juliet se leva, avait-elle une autre raison de rester? Akiro n'avait pas vraiment respecter le contrat implicite, mais elle, elle n'aurait pas le choix de publier cette clé... C'était vraiment pas juste.

- "Soit, donnez-moi cette clé Inspecteur, je m'occuperais de faire tomber votre directeur

Juliet tendit la main, impatiente.

En suivant du regard le déplacement la journaliste toujours déçu de ne pas pouvoir pénétré dans son paradis personnel, il tendis la clé a la jeune femme. Et sans la moindre hésitation il dit une phrase qui pourrait lui remonté le moral.

De toute manière je me sent déjà comme un ripoux donc autant m'excusez. Dans cette clé ce trouve les comptes de divers personnalité, politique, Pdg ou autre. Ce sont des documents que la police ne devait pas divulguer a cause d'un certain directeur. Ce n'es pas grand choses comparé au dossiers que vous vouliez voir. Mais ça pourrait vous donnez de bonne carte pour faire ce que vous voulez de ces personnes.

Juliet le regarda. Elle avait peut-être été un peu dur avec l'inspecteur. Il n'allait pas se sacrifier pour elle, c'était logique. Mais la journaliste avait tout de même espéré plus. Elle sourit un peu

- "Merci beaucoup. Je saurais faire bonne utilisation de ces données. Et désolé d'avoir réagi comme ça. C'est que j'avais vraiment tout imaginé dans la tête. Plus que prendre ces informations, c'était l'adrénaline de l'action qui m'intéressait. J'ai une vie plutôt monotone vous savez, alors je me suis dit qu'un petit coup de folie ça faisait toujours du bien"

Juliet ne mentait qu'à moitié. Elle s'ennuyait beaucoup dans sa vie, c'est vrai. Mais de là a dire que sa vie était monotone, c'était un peu grossir le trait

- "Je ne vous en veux pas. Vous avez vraiment fait de votre mieux et je vous en remercie"

La phrase de Juliet le fit sourire, il comprenait sa réaction excessif et l'envie de changer d’environnement pour un jour. Peut être qu'il la recontactera un jour cette journaliste qu'il apprécie même si il n'aime pas ce métier. Et sans dire un mot il ce retourna en direction de la porte et l'ouvrit avec un petit sourire en coin.

Et moi je suis désolé de ne pas vous avoir donnez l’adrénaline voulu. Et temps que vous vous servez de ces informations parfaitement, ça me va.

Au moins, le signe était clair. Il n'avait rien d'autre a dire et lui proposait la porte. Juliet saluait son tact très subtile. Mais d'un côté, elle n'avait pas fait spécialement mieux pour Russel. La journaliste prit ses affaires puis se dirigea vers la sortie

- "Oubliez pas de m'appeler si vous voulez donner des informations ou si une envie d'adrénaline vous viens à l'esprit. Sur ce, bonne soirée et j'espère pouvoir rapidement faire chuter votre chef"

Juliet partit donc de l'appartement, un brin déçue. Mais il y aurait toujours une prochaine fois, c'était obligatoire. Cela faisait déjà 3 fois qu'ils s'étaient rencontrés

[The End, sauf si tu interviens. Ce fut un plaisir ]