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Ce jour-là, j'avais décidé d'aller flâner du côté du parc. Depuis que la bestiole était venue me voir, j'avais encore aperçu aucune de ces fameuses ombres dont elle m'avait parlé. Du coup, je commençais à me demander sérieusement s'il m'avait pas pris pour une bille, le Bey. Alors, comme j'avais pas d'autre idée, je m'étais dit, autant retourner là où je l'avais vu, dans le parc, pour lui demander des comptes. On se moque pas du vieil Archy impunément, parbleu !

J'étais allé m'asseoir sur le même banc que la dernière fois, histoire que la bestiole me retrouve plus facilement. Ma canne était appuyée contre, à portée de main. J'avais pas encore le réflexe de la faire disparaître quand j'en avais pas besoin. Et puis, j'ai commencé à attendre. Devait être dans les environs de midi, et yavait personne dans les parages. On n'entendait que les oiseaux qui s'en donnaient à cœur joie. Et ça cuicuitait, et ça pioupioutait. On voyait bien que c'était le printemps et que le soleil était au rendez-vous.

J'attendais, j'attendais, mais le Bey avait pas l'air décidé à se montrer. C'était bien ma veine. Comment j'allais demander plus de détails pour trouver les ombres, moi ? Finalement, j'ai enlevé mon chapeau et je l'ai posé à côté de moi, pour mieux profiter du soleil. Autant joindre l'utile à l'agréable. Au moins, si la bestiole venait pas, je me serais pas déplacé jusqu'ici tout à fait pour rien. C'était vrai que ça faisait du bien. Et puis, mine de rien, j'ai commencé à piquer du nez. J'ai senti ma tête partir en avant, et mes idées sont allées se promener un peu partout. Si ça continuait comme ça, j'allais pas tarder à ronfler comme un sonneur.

Ce matin en me levant je lançais l'ordi, comme d'habitude. j'avais trouvé un nouveau jeu la veuille sur le net et je voulais le tester. Ma journée ne va pas beaucoup bouger visiblement... Pendant que le jeu charger je chécké mes mails et un ami qui avait vécu une situation semblable mais sur une duré plus courte, environ un mois, et il m'envoyais des astuce pour m'aider. L'une d'elles était de jouer au jeu solo hors ligne dans les parcs au heure creuse. je jette un oeuille a mon jeu, c'était un point&click des plus innocents et il remplissait le nécessaire pour tenter cette sortie, je m'habillait donc pendant que je re téléchargé le jeu mais sur mon pc portable cette foi.

Me voilà donc au alentour de midi avec ma sacoche jaune pétante en plein milieu d'un parc que je ne connaissais pas bien. Mais celui si était quasiment vide et c'était tout ce qui comptai. je chercher tranquillement un banc pour m'asseoir alors que j'allais m'asseoir seul un vieux bonhomme retint mon intention, il dormait sur ça canne, son chapeau a coté de lui. d'un coté je préférais être seul mais de l'autre il semblait vraiment abandonné. je pris place à l'autre bout du banc, pour sortir mon ordinateur, dans tous les cas il fallait qu'il finisse ça sieste.

Je branche mes oreillettes et allume mon petit chérie pour commencer a jouer. le jeu se déroulait dans un univers joyeux bien que situer dans le royaume de la mort, tous les personnages étaient des squelettes avec un crâne qui rappelai ceux en sucre mexicain, la musique était magnifique et garder cette inspiration mexicaine. Au bout d'une heure et demi environ j'entends un marmonnement venant de ma droite, visiblement le veille homme se réveiller. n'osant faire le premier pas je mis une oreillette à coter d ma jambe comme si de rien n'était.

Enfin ! J'avais trouvé ma première ombre, et je m'étais mis à cavaler après en brandissant ma canne. Reviens ici, saleté, que je lui disais. Bizarrement, j'étais même pas essoufflé. J'avais l'impression que mes jambes bougeaient sans le moindre effort. C'était sûrement ça les capacités spéciales dont le Bey avait parlé. En tout cas, j'allais bien finir par lui mettre la main dessus à cette satanée silhouette qui flottait devant moi. On était dans une sorte de bois, avec des arbres partout.

A force d'accélérer, j'ai fini par arriver à sa portée et j'ai tendu la main pour lui mettre le grappin sur l'épaule. A ce moment-là, d'un coup, elle s'est arrêtée et s'est retournée vers moi. J'ai pas eu de mal à stopper tout de suite, sans lui rentrer dedans. Mais alors, mon cœur s'est arrêté. C'était plus une ombre que j'avais sous les yeux, mais ce vieux Milton, un camarade de bataillon que j'avais vu mourir sous mes yeux pendant la guerre. Il avait le visage couvert de sang et le regard suppliant. Vas-y, achève-moi, qu'il me dit.

Je me suis réveillé en sursaut. Parbleu, encore un satané cauchemar. J'ai regardé autour de moi, un peu égaré. J'étais toujours dans le parc, assis sur le banc. Un jeunot était venu s'installer à côté de moi, et pianotait sur sa machine qu'il tenait sur ses genoux. J'ai pris quelques instants pour reprendre mes esprits. Des yeux, j'ai cherché ma canne, mais elle avait disparu. Elle avait dû se faire la malle pendant mon sommeil. Le Bey m'avait expliqué que ça me prenait des forces de la laisser apparente. Bah, tant pis, je la rappellerais quand j'aurais besoin de me lever pour partir d'ici. Mon chapeau, lui, par contre, était toujours là.

Quand je me suis complètement calmé, j'ai commencé à observer le jeune assis près de moi. Il avait l'air négligé. Comme beaucoup de jeunes à mon avis. Mais celui-là, peut-être encore plus que les autres. Et puis, il avait pas l'air très en forme. Il était tout pâle, avec des grosses cernes sous les yeux. Après quelques instants, intrigué, je lançais sans préambule, sans faire attention au petit machin au bout d'un fil que mon voisin laissait pendre le long de sa jambe :

« T'as l'air drôlement concentré fiston. »

Je me tortillai pour me rapprocher un peu et jetai un coup d'oeil à ce qui se passait sur son écran. Je dus me rapprocher un peu, en me penchant, pour distinguer quelque chose. Je vis des squelettes dans un décor plutôt lugubre, à première vue.

« Eh ben, c'est pas gai dis donc. »

C'était quand même étrange cette fascination qu'avaient les jeunes pour la mort. Pour sûr, s'ils l'avaient côtoyée de près, comme moi, elle les attirerait probablement moins que ça.

je retirait ma deuxiéme oreillette, ce vieux bonhomme était réveiller et il voulait discuter visiblement. mon jeux avait l'air de lui déplaire, surment le fait que l'univer soit remplie de squellette? qui sait, en tous cas je fermait le capot de mon bébé, pour me tourner ver le vieux un léger sourir au levre

"b-b-bonjour"

mince pourquoi je béguayait, c'est pas normal. fin je crois, cétait peut etre que j'était intimider. ça me faisait un peu rougir.

" c'est un b-b-bon j-jeu-eu-eu. "

j'ai honte, je peux pas aligner deux mots, c'est pas normal. peut etre que c'est normal après avoir passer tout ce temp sans parler a qui que ce soit, pourtant j'ai déja croiser une ou deux personne et ça ne mas jamais fait ça. c'est embetant quand meme

"dé-é-ésoler je-eu comp-p-p-prend pa-a-as ce qui m'arrive"

La réaction du jeunot m'a agréablement surpris. Je m'attendais à ce qu'il me dise à sa façon de m'occuper de mes affaires et de le laisser tranquille. Mais non seulement il m'a salué plutôt poliment, mais en plus il a abandonné son jeu pour me parler. Sympa ce gamin, à première vue. Par contre, il a l'air d'avoir un petit problème pour parler. Je souris, d'un air compréhensif. En plus, il a l'air tout gêné. Je lui donne un petit coup sur l'épaule.

« T'excuse pas mon grand, c'est rien ça. »

J'en ai connu des gars qui parlaient pas facilement comme ça. Ca doit pas être évident à vivre. Alors autant pas leur compliquer encore les choses en les prenant de haut. Je serais bien embêté, moi, si je parlais comme ça. Je réfléchis un peu, et je propose :

« T'as déjà essayé de chanter ? Paraît que ça aide à faire glisser tout seul. »

Et puis, je m'intéresse à nouveau à la machine refermée sur ses genoux.

« Ca s'appelait comment ton jeu ? Fallait faire quoi ? »

Ca m'intrigue réellement. S'amuser avec des squelettes. Pourquoi pas après tout, mais j'aimerais comprendre. Moi j'en ai vus quelques-uns des squelettes, des vrais, et c'était pas vraiment marrant. Et pour une fois qu'un jeune prend le temps de me répondre gentiment, je vais pas le lâcher comme ça.

Ce vieux bonhomme était vraiment sympa, déjà, il aurait pus se moquer de moi avec mes bégaiement ridicule ou pestait à cause du fait que je jouait a un jeu vidéo, mais au lieu de ça il blaguait et avait l'air de s'intéresser a mon jeu finalement. Je rouvrais donc le clapet de mon PC et me raccrochant un plus pour qu'il voie mieux

"Ça s'ap-p-pelle l'étrange v-voyage de Mr Smith, c'est un point&cliq, il suffit d'utiliser la s-s-souris pour cliquer sur des éléments du dé-décor qui produiront un effet qui vous permet d'avancer. par ex-x-xemple pour ouvrir un fenêtre verrouiller, il faudra prendre un bat-t-ton et un morceau de ferraille pour faire un pied-de-biche qui l'ouvrira."

en quelqu clique je quittai le menue de pause laissant apparaître un parc multicolore qui semblait désert. Seulement deux personnages se trouvait à l'écran: le premier qui se trouver au centre de l'écran porté un costume gris et une fière moustache noire qui surmontait sont étrange sourire figé. Au second plan un squelette était assis sur un banc, ses vêtement ressembler a ceux du vieux, trois Z majuscule flottait au-dessus de ça tête, il dormait. je continuer tout comptent de montrer ce jeu

"la p-p-par exemple je doit demander a cette personne de m'ouvrir la grille-eu-eu mais il dort et je doit trouver le moyen de le réveiller."

Je fis alors pivote l'écran pour le mètre en face du doyen en lui tendant une oreillette avec un grand sourire, voyons voir si ce gentil monsieur a envie de jouer. Après tout qui sait

"Vous voulez essayer? Vous verez c'est drôle. et écouter aussi la music-c-c, vous verez elle donne du peps "

tien étonnant je béguaillait de moins en moins, c'est tout de même troublant mais bon si ça ce calme alors c'est bien

J'écoute attentivement, en regardant l'écran que le garçon a rouvert. Visiblement, il n'a pas l'air agacé par mes questions. Et puis, il prend le temps de m'expliquer, avec des mots que je comprends. Je commence à bien l'apprécier, ce jeunot. Je ponctue ses explications par quelques bruits de gorge, pour montrer que j'arrive à le suivre. Il a pas l'air bien compliqué, son jeu. Et pas aussi violent que je pensais. Pas comme ces jeux où il faut tirer dans tous les sens pour abattre des cibles qui meurent dans un bain de sang. J'en ai déjà vus, des jeunes qui s'amusent à ça. A chaque fois, ça me fait frissonner. Ils donnent la mort si naturellement.

Mais là, d'après ce que je comprends, c'est plutôt un genre de jeu d'énigmes, avec un problème que le joueur doit résoudre. Plutôt intéressant, à première vue. Le dessin est assez simple, ça me rappelle les bandes dessinées de ma jeunesse, avec leurs personnages fantastiques. J'observe un instant le décor sur l'écran, puis je pointe du doigt le bonhomme debout au milieu.

« C'est lui, Mr Smith ? »

Quand mon voisin me tend son écran et son écouteur et me propose d'essayer, je suis un peu surpris. Je l'avais pas vue venir celle-là. J'hésite un court moment, et puis je hoche la tête. Allez, soyons fous. Mon vieil Archy, toi qui te plains toujours de ne pas comprendre les jeunes, tu serais un bel imbécile si tu ne saisissais pas cette chance. Elle risque de ne pas se reproduire de si tôt. Je prends donc l'écouteur entre deux doigts et le glisse dans mon oreille. Une petite musique me parvient alors, un peu étouffée par mes quelques problèmes d'audition, mais assez forte pour que je puisse en apprécier les détails. C'est vrai qu'elle est énergique, pas désagréable. Et puis, elle me rappelle quelques souvenirs.

« Eh ben, ça swing ! Ca me fait penser à mon voyage dans le sud ya des années. »

Je commence à balancer la tête en cadence en fermant les yeux et en fredonnant légèrement. Après quelques secondes, je me reconcentre sur l'écran. Je me gratte le menton du bout du doigt.

« Voyons voyons... comment réveiller un squelette qui dort... Hmmm... on peut pas lui parler tout simplement, ou le secouer un peu ? »

je souriait a nouveau en voyant ça réaction, c'est toujour le réflece des débutant de tenter l'action la plus logique. en trois ans de jeux intensif on comprend ça. pour le metre sur la voix je lui dit donc avec a un sourir bienveillant

"essayer donc pour voir, vous verez bien."

lorsque le grand pere cliqua sur le personnage ce dernier eu un sursaut  et une fentre de dialogue  aparut sur ça tete "grmmmblr laisse mois dormir, trop fatiguer, la mort c'est fait pour ce reposer non mais..." et le perso ce rendort, quelqu soit le nombre de tentative...

"donc il faut trouver une solution, je vais vous montrer un truc qui devrai vous aider"

je déplace alors le curseur pour cliquer sur la malette de smith pour ouvrir l'inventaire, dans ces case il y avait plusieur objet, une ou deux clé quelqu gemme un bonne dizaine de bricole  et un gobelet a café.

"quesqu'i pou-pou-pourai servir aider a réveiller quelqu'un? quelqu chose qui aide ce qui sont pas du matin"

j'espere que c'est quelqu indication vont le metre sur la voie, la solution se trouvait surment a l'échope avec des gran de café sur l'enseigne qui se trouvait dans le fond du tableaux, surment un cou retor ou pour quil puisse moudre le café il faille trouver plein d'objet sans aucun rapor mais bref ça fera un bon début pour lui

La mort c'est fait pour se reposer. Je laisse échapper un petit rire.

« Il a pas tort ce squelette, au fond. On devrait peut-être le laisser roupiller, non ? »

Puis je reprends mon sérieux pour me remettre à réfléchir en examinant l'écran. J'observe les changements provoqués par les manipulations du garçon, et je souris largement, impressionné.

« Aha, je savais pas qu'on pouvait regarder dans la valise. »

Je passe en revue les nouveaux objets apparus, et j'écoute l'indice du gamin. Avec un clin d'oeil, je lui réponds :

« Moi quand je suis un peu à plat, j'aime bien prendre un bon café. Mais je suis pas un squelette... enfin pas encore tout à fait. »

J'indique du doigt le gobelet virtuel, en éclatant de rire. Puis je considère à nouveau l'ensemble du décor. Un squelette qui boit du café, au fond, ça ne m'étonne pas tant que ça. Je sais que dans ces jeux, comme dans notre imagination, tout devient possible. Maintenant, reste à trouver la marche à suivre pour obtenir le breuvage, à partir de ce gobelet qui semble vide.

« Hmmm, bon, qu'est-ce qu'on peut en faire de ce truc-là... »

Après quelques instants, je finis par repérer une échoppe en arrière-fond, décorée de ce qui semble figurer des grains de café. Je tente de cliquer dessus.

« On peut aller là-bas ? J'ai un gobelet, ya du café, la solution doit se trouver dans ce coin-là. »

Ca me paraît logique, en tout cas. J'attends une approbation de mon voisin, à moins qu'il me détrompe. On ne sait jamais avec ces jeux.

Je fit un grand sourir au vieux bonhomme pour lui répondre

‘’ moi aussi j’aime bien le café pour me réveiller, essayon donc de trouver de quoi remplir cette tasse’’

Je me remeter bien contre le banc pour le regarder réfléchir a une solution, voyon voir si il trouve la solution tout seul. Je suis sur su’il en est capable.

Il avait trouvé, super. Je lui fit signe de cliquer sur ce stand pour y aller. Le tableau changis alors pour une autre scene, mr smith était toujour au centre de l’écran et en face de lui ce trouvait un autre squellette avec un tablier. Il se tenait derrière le contoir, et lorsque l’on cliquait dessus il disait « désolé je ne peux pas vous servir de café, je n’ai plus de filtre. » je fit un sourir sournois, la logique voudrait qu’on aye chercher des filtre a café mais si c’était si simple ça ne serait pas drole, soit pour trouver les dit filtre il vas falloir raporter je ne sais qu’elle bijou perdue a une personne qui vas nous inviter chez elle pour nous donner des filtre, soit trouver un subsitut incongrue comme un tamis très fin, des chaussette ou n’importe quoi avec des troue.

« il faut donc trouver un filtre ou du moins quelqu chose qui pourrait le remplacer, a vous de cherchez. »

Après avoir cliqué sur l'échoppe comme me l'indique mon jeune voisin, j'examine le nouveau décor qui est apparu, l'intérieur du stand visiblement. Petit à petit, je commence à mieux comprendre comment fonctionne ce jeu, et mine de rien, ça me plaît bien. Quand je clique sur le nouveau squelette, il se met à causer à son tour, et je fais remarquer, amusé :

« Eh ben décidément, il leur manque toujours quelque chose dans ce jeu. Faut tout faire à leur place. »

J'écoute la suggestion du gamin, et je fronce les sourcils en cherchant ce qui pourrait bien servir de filtre à café. A tout hasard, je clique à nouveau sur la valise de ce bon Smith, histoire de voir si elle ne contiendrait pas quelque chose qui pourrait faire l'affaire. Puis mes yeux fouillent les environs virtuels, à la recherche d'éventuels objets à emprunter ou d'une issue vers un autre décor.

« Ya peut-être bien d'autres endroits où on peut aller pour trouver ce qu'il faut, non ? »

Perplexe, je me triture les méninges. Si ça se trouve, la solution est toute simple et se trouve juste sous mon nez. Je relève la tête vers le jeunot assis à côté de moi.

« Et t'arrives à trouver toutes les solutions tout de suite, toi ? T'es rudement doué dis donc. »

Je cherche encore un peu, mais finalement, je renonce. On y passerait des heures à ces petits jeux, et moi, si je suis venu là, ce n'était pas pour ça. Je retire donc l'oreillette et la rend au jeunot.

"Tiens fiston, j'abandonne. C'était bien intéressant, en tout cas. Mais tu sais, j'ai d'autres choses à faire. Je te laisse continuer, tu y arriveras bien mieux que moi."

Je récupère ma canne et mon chapeau, et je pose une main sur l'épaule de mon voisin en me relevant du banc.

"Merci pour le bon moment p'tit gars. A la revoyure !"

Et, m'appuyant sur mon bâton, je commence à clopiner vers la sortie du parc. C'est pas cette fois que le Bey pointera le bout de son museau, on dirait. Mais au moins, j'aurai fait une fort bonne rencontre, très instructive.