Spoiler:

Nearra suivait discrètement sa cible à travers la forêt, un jeune trafiquant de drogues qui s'était mis à dos les mauvaises personnes. Comme tous les jours, il sortait faire un jogging matinal dans ce lieu où il était rare de rencontrer âme qui vive, lieu ironiquement idéal pour l'éliminer sans témoins. Alors qu'il s'arrêta pour faire une pose, elle sortit de son dos ses sabres et avança jusqu'à se retrouver devant lui et l'informa de la raison de sa présence. Ses commanditaires avaient doublé la récompense du contrat rien que pour ça, même si elle n'en voyait pas la raison puisqu'il allait mourir de toute façon.

— Tu es vraiment un imbécile pour t'être mis à dos les plus gros trafiquants de la ville sans avoir de relations... Enfin bon prend ça comme une faveur de ma part, ta mort sera plus rapide que s'ils avaient pris le temps de te retrouver eux-mêmes.

Devant son air ébahi, elle s'élança et lui trancha la gorge d'un coup sec. L'imbécile était resté immobile, encore sous le choc de ses paroles. Pourtant il n'aurait pas du être étonné ; étant lui-même dans le milieu il aurait du se rendre compte qu'aucune offense n'était jamais laissée impunie. S'asseyant pour nettoyer son sabre droit recouvert de sang, elle ne tarda pas à sentir quelqu'un l'observer. Se relevant d'un bond, elle se remit en garde et lança d'une voix forte.

— Qui est là ?

On n'étais le matin, le soleil était entrain de se lever, une très bonne journée pour un footing dans le bois. Un brise légère glissé sur ma peau en sueur. Je me demandé bien se que j'allais voir dans les bois se matin, cerf, sanglier, écureuil j'ai toujours adorer admirer la nature. Mais aujourd'hui c'est la nature de l'homme que j'allais voire. J'entendit une phrase elle n’était pas tes audible, j'entendit juste le mot "trafiquants" ce seul mot suffit à m'intriguer. Je m'approcher d'un pas tranquille mais la personne qui avait parler m'entendit et m'envoya d'une voix forte et sec on pouvait quand même décerner une voix feminine:

- Qui est là ?

Sa voit me fit légèrement sursauté elle à pas l'air amical, je décida de ne pas lui repondre et en 3 pas j'arrive de derriere quelques buisson et juste avant de voir la scéne j'envoya avec un grand sourire sur un ton ironique :

-Bonjour c'est moi le grand Léonardo !

Puis la scène me coupa le souffle un homme la gorge tranché baignant dans son sang, et en face une femme 1m65 tous au plus, cheveux court. Elle avait un sabre dans la main sans doute la meurtrière. Elle n'avait pas l'air commode et je me mit en garde instinctivement. Je venait d'être témoin d'un meurtre... Que devais je faire?

Quand elle fut sur le point de chercher elle même l'intrus, il se manifesta sous la forme d'un jeune homme de taille moyenne en sueur après avoir sans doute couru et, malheureusement pour lui, il avait fallu qu'il aille chercher cet endroit parmi tous les autres pour son jogging matinal.

— Bonjour c'est moi le grand Léonardo !

C'est alors qu'il prit conscience de la scène qui se déroulait sous ses yeux. Elle n'avait pas encore eu le temps de se débarrasser du corps et le fait qu'elle se trouvait devant, armes en main la désignait d'office coupable. Quand elle le vit se mettre soudainement en garde, prêt à se battre si nécessaire, elle ne put s'empêcher de ressentir de la surprise teintée d'émerveillement ; de ces jours il était rare de rencontrer un vrai combattant, pas quelqu'un qui pratiquait des sports de combat comme loisir mais quelqu'un qui avait ça dans le sang. Nearra poussa alors un soupir et rengaina ses armes. S'il n'avait été qu'un simple témoin elle l'aurait éliminé sans aucune hésitation mais elle ne pouvait s'empêcher d'éprouver du respect pour cet homme qui n'hésitait pas à lui faire face et qui était possiblement meilleur qu'elle quant au combat à mains nues.

— Un boxeur d'après cette posture j'imagine ? Que faire... maintenant que je sais que tu es un combattant je ne peux pas t'éliminer de sang froid. Mais je ne peux pas non plus te laisser témoigner... Une idée, jeune homme ?

Elle posa cette question d'un ton sarcastique, l'appelant jeune homme alors qu'il devait avoir approximativement le même âge qu'elle. Attendant sa réponse, elle s'adossa contre un arbre les bras croisés, paraissant relaxée mais étant réellement prête à tirer ses sabres de leurs fourreaux aussi vite que nécessaire.

Je la regardai sur de moi, de la tête au pied, elle avait l'air de savoir se qu'elle fait l'homme assasiner montré son talent on ne lui avait assène qu'un coup, mais il fut mortel. Quand elle rengaina ses armes, je me remit dans une posture basique. Je fus soulagé même si au fond j'avais envie dans découdre avec elle. On ne rencontre pas des gens aussi fort à chaque coin de rue ! Bref elle en restait pas une meurtre malheureusement... Vu qu'elle n'avait pas l'air de ressentir de remord, sa tenue et l'aura qu'elle dégage. Tous sa ne pouvait dire qu'une chose. Elle était sans doute tueuse à gage. Elle me dit d'un ton sarcastique

— Un boxeur d'après cette posture j'imagine ? Que faire... maintenant que je sais que tu es un combattant je ne peux pas t'éliminer de sang froid. Mais je ne peux pas non plus te laisser témoigner... Une idée, jeune homme ?


Elle s'adossa ensuite à un arbre. Le fait qu'elle ne met pas sauté à la gorge prouve encore une fois qu'elle est forte savoir jauger la force de son adversaire est très important. Je me décida de lui répondre sur le ton de l'humour

-Le mot "beauté fatale" prend tous son sens avec toi,puis je reprit d'un ton plus calme, Ecoute je ne cautionne pas le meurtre et encore moins ton métier. Mais je suis loin d'être béte, ci ça n'avait pas été toi sa aurait été quelqu'un d'autre. Je n'es aucune raison de te dénoncer. Mais malheureusement pour toi je suis curieux...Qu'a fait cette homme pour mériter un t'elle sort?

Je l'observer attentivement prêt à esquiver n’importe qu’elle offensive

— Le mot "beauté fatale" prend tout son sens avec toi. Ecoute je ne cautionne pas le meurtre et encore moins ton métier. Mais je suis loin d'être bête, si ça n'avait pas été toi ça aurait été quelqu'un d'autre. Je n'ai aucune raison de te dénoncer. Mais malheureusement pour toi je suis curieux... Qu'a fait cet homme pour mériter un tel sort?

Nearra resta un long moment perplexe, la bouche ouverte. Puis elle éclata de rire pour la première fois depuis un long moment. Elle s'était attendue à tout mais entendre les mots "beauté fatale" sortir de la bouche du jeune homme pour la décrire eut raison de ses défenses et elle se laissa donc aller et ne put s'empêcher de murmurer entre deux éclats de rire.

— Si je m'attendais à ça...

Reprenant contenance, elle répondit à sa question en haussant les épaules.

— Jeune trafiquant de drogues. A énervé les mauvaises personnes et ça lui est retombé sur le dos.

En s'étirant paresseusement elle s'avança, réduisant la distance entre eux, assez proche pour le voir de plus près mais assez loin pour avoir le temps de riposter s'il se décidait à l'attaquer. Elle décida alors de le dévisager ouvertement, hochant la tête d'une manière approbatrice devant sa musculature résultant d'un entrainement assidu.

— Dis-moi, dans ma tête je continue à t'appeler "jeune homme", tu n'aurais pas un nom pour remplacer ça ?

Penchant la tête sur le côté, de façon pensive, elle rajouta.

— Tu sais, en le tuant j'ai probablement empêché la mort de plusieurs personnes. Si tu es contre le meurtre tu devrais approuver mes actions, je me trompe ?

Elle ne savait pas pourquoi elle essayait d'obtenir son approbation. Surement parce que c'était la première personne en date ayant captivé son intérêt.

Apres mes paroles elle éclata de rire puis se reprenant elle haussa les épaules et me repondit :

— Jeune trafiquant de drogues. A énervé les mauvaises personnes et ça lui est retombé sur le dos.

Une histoire bien banal je resta silencieux. Elle s’étira tous en s'avançant vers moi, elle commença à me dévisager. Bizzarement même moi je ne suis pas très rassuré quand un tueur professionnel vous dévisage. Elle restait sur ses gardes, puis elle me demanda mon nom

-Je m'appel Léonardo mais appel moi Léo ! Et toi dit moi, tu as un prenom, un surnom?

Oubliant ma question, elle pencha sa tête sur le coté et enchaina

— Tu sais, en le tuant j'ai probablement empêché la mort de plusieurs personnes. Si tu es contre le meurtre tu devrais approuver mes actions, je me trompe ?

Que cherchait elle? Que j'approuve sa façons de faire, ça n'arrivera jamais. J'ai toujours trouvé que chaque vie humaine à son importance. Et un Homme qui en tue un autres reste et restera une abomination. Mais si il y as encore quelques chose de pire c'est quelqu'un qui demande à un Homme de tuer un autre Homme.

-Malheureusement je ne peux pas voir les choses de cette façons. Il n'y as pas que la mort qui arrête un Homme dans ses actions aussi mal famée soit elle. Mais je ne te blâme pas c'est ton métier... en rigolant je reprit, Je suis bien payé pour taper sur des gens !

Je m'assit et puis je la regarda de la même façons qu'elle m'avait regarder. Elle était fine et athlétique, elle doit souvent s’entraîner. je lui dit sur un ton chaleureux

-Tu n'es plus obligé de rester sur tes gardes aucun risque que je t'attaque par surprise.

Je lui tira mon plus grand sourire

— Malheureusement je ne peux pas voir les choses de cette façon. Il n'y a pas que la mort qui arrête un Homme dans ses actions aussi mal famées soient-elles. Mais je ne te blâme pas c'est ton métier... Je suis bien payé pour taper sur des gens !

Bon, c'était mieux que rien, même si elle ne pouvait s'empêcher d'être déçue. Mais bon elle s'attendait plus ou moins à cette réponse. Elle haussa simplement les épaules et le regarda s'asseoir puis la dévisager comme elle l'avait fait précédemment. C'est alors qu'il lui dit chaleureusement en lui souriant.

— Tu n'es plus obligée de rester sur tes gardes aucun risque que je t'attaque par surprise.

Aussi surprenant que ce soit, elle lui rendit maladroitement son sourire et se détendit avant de reprendre le nettoyage de ses sabres là où elle l'avait arrêté. Laissant le silence étrangement réconfortant l'entourer, elle le brisa lorsqu'elle s'arrêta pour rengainer et dit, hésitante.

— Tu sais... Pour ce que ça vaut je n'accepte jamais de contrat sur des innocents...

Elle savait bien que ça n'allait pas changer son opinion mais elle ne put s'empêcher de l'informer. Haussant de nouveau les épaules comme pour lui dire d'oublier ce qu'elle venait de lui dire elle laissa de nouveau le silence s'installer, fermant les yeux pour apprécier le moment. Puis, soupirant, elle se leva et regarda le cadavre qui gisait toujours dans son sang. Elle s'en approchant et alors qu'elle commençait à le traîner elle vit qu'elle n'avait pas d'endroit où s'en débarrasser. Elle ne pouvait pas juste le laisser là et elle n'avait pas apporté de pelle avec elle pour l'enterrer. Regardant le jeune homme, Léo, elle lui dit.

— Tu comptes m'aider ou rester me regarder ? Je doute que tu aie envie qu'un jeune coureur matinal tombe dessus.

Elle rengaina et me dit hésitante

— Tu sais... Pour ce que ça vaut je n'accepte jamais de contrat sur des innocents..

Elle l'as maladroitement dit mais je comprit, elle tue que si l'Homme le "merité", je la regarda et lui sourit doucement comme seul réponse. Elle haussa les épaules, je penses qu'elle voulait que j'oublie ses paroles, un assasin ne doit sans doute pas avoir de t'elle parole. Elle commença à traîner le cadavre comme si de rien n'était et me dit :

— Tu comptes m'aider ou rester me regarder ? Je doute que tu aie envie qu'un jeune coureur matinal tombe dessus.

j'explosa de rire, je donne cette impression d'être naïf et gentil, d'être une âme charitable

-Ecoute, tu es très sympathique, mais je ne connais pas ton nom, tu me demande de cacher ton meurtre et donc de devenir ton complice et en plus ta pas un petit s'il te plait, je lui tira la langue, Et tu sais personne ne passe par ici et si quelqu'un le retrouve sa ne sera pas un problème pour toi ! si?

Alors qu'il explosa de rire, il répliqua.

— Ecoute, tu es très sympathique, mais je ne connais pas ton nom, tu me demande de cacher ton meurtre et donc de devenir ton complice et en plus t'as pas un petit s'il te plait. Et tu sais personne ne passe par ici et si quelqu'un le retrouve ça ne sera pas un problème pour toi ! si ?

Les yeux baissés vers le cadavre elle répondit sans réfléchir.

— Nearra.

Elle ne savait vraiment pas ce qu'il lui arrivait, elle se sentait détendue, se comportait naturellement et pour ne rien arranger elle lui donnait son vrai prénom. Levant les yeux elle rajouta, en haussant de nouveau les épaules.

— Mon nom.

Malgré tout elle ne pouvait pas laisser le corps en plein milieu d'un sentier. Mais elle n'allait pas non plus prendre la peine de le cacher. Après l'avoir laissé derrière un buisson et s'être frotté les mains elle demanda, timide.

— Bon, je suppose que tu ne va pas rester ici toute la journée près d'un cadavre. Alors que comptes-tu faire ? Je ne peux pas te laisser partir comme ça après que tu aie été témoin de ce qui s'est passé.

Des excuses elle en avait sortit beaucoup, énormément. Mais aucune d'aussi lamentable que celle-là. Sa seule excuse était que ça faisait longtemps qu'elle avait librement parlé à quelqu'un, sans cacher qui elle était vraiment. Personne ne pouvait lui en vouloir parce qu'elle voulait juste rester avec lui un peu plus longtemps, si ? Mais elle n'arrivait pas à y croire. Elle, timide. Une des tueuses à gages les plus craintes et respectées devenait timide devant un simple jeune homme. C'était le monde à l'envers.

Elle me répondit rapidement :

— Nearra.

Nearra sympathique comme nom, peu commun en tous cas, elle leva les yeux et rajouta

-Mon nom

Elle commença à déplacer le cadavre derrière un buisson et d'une voie enthousiaste je lui dit:

-Ne-a-rra sympas comme nom, t'es plutôt détendu pour une "assassin" !

Apres avoir finit son affaire elle me dit timidement

— Bon, je suppose que tu ne va pas rester ici toute la journée près d'un cadavre. Alors que comptes-tu faire ? Je ne peux pas te laisser partir comme ça après que tu aie été témoin de ce qui s'est passé.

Elle va quand même pas me suivre toutes la journée, enfin je peux bien annuler mon entrainement pour cette intrigante Nearra, je l'invita à me rejoindre dur regard puis je me retourna et partis vers la partis est de la forêt ou reposé une petite riviere pas mal d'animaux venez s’abreuver à celle ci, j'y allais souvent. Je lui dis.

-Okey pas de problème j'aime bien me balader du coup je vais me balader dans la forêt, viens avec moi tu me parleras de toutes les aventures que tu as eut !

— Okey pas de problème j'aime bien me balader du coup je vais me balader dans la forêt, viens avec moi tu me parleras de toutes les aventures que tu as eut !

Enthousiaste, elle le suivit jusqu'à une rivière, et s'assit juste à côté, assez proche pour effleurer l'eau de sa main. Elle se doutait que ce n'était probablement pas ce qu'il avait prévu de faire à la base mais elle était trop égoïste en ce moment pour le laisser tranquille. Essayant de trouver tant bien que mal un sujet de conversation, elle lança.

— Alors... Depuis combien de temps pratiques-tu la boxe ?

Se plongeant dans ses souvenirs, elle remonta jusqu'à son enfance, quand elle avait commencé sa formation de tueuses à gage et lui dit, avant qu'il ait eu le temps de répondre à sa question.

— Quand à moi... ça doit faire à peu près 15 ans que j'ai commencé à me battre.

Se laissant submerger par ses souvenirs elle rajouta.

— Mes parents étaient eux aussi tueurs à gages, on peut dire en quelque sorte que c'est une affaire familiale, ricana t-elle. J'ai donc commencé ma formation à 8 ans, même si au départ je ne m’entraînais qu'aux filatures. J'ai commencé à manier les armes seulement quelques années plus tard. Ma première mission a été à 15 ans. Je m'en rappelle encore, ma cible restait immobile mais je n'avais même pas réussi à le tuer du premier coup.

Elle détourna le regard, toujours humiliée au souvenir de cette malencontreuse première mission.

Arrivé à la rivière, elle s'assit sur le bord de celle ci et commença à effleurer l'eau avec sa main, je m'assit à coter d'elle. Elle brisa le silence

— Alors... Depuis combien de temps pratiques-tu la boxe ?

Elle ne me laissa pas le temps de répondre et ajouta

— Quand à moi... ça doit faire à peu près 15 ans que j'ai commencé à me battre

Puis pour continuité sur cette pente elle enchaîna pensif

— Mes parents étaient eux aussi tueurs à gages, on peut dire en quelque sorte que c'est une affaire familiale

puis elle ricana. sa fait bientôt 15 ans que j'ai commençait à me battre aussi mais pas pour les même raison. Assassin de parent à enfant certainne famille avait des tradition special mais qui étais je pour juger. 15 ans qu'elle est assassin sa doit être epuisant... combien de victime à t'elle faite ?

-15 ans que tu est assassin tu as du commencer tôt à t’entraîner, ce n'est pas trop dur? T'es parents sont encore assassin?

apres avoir finit ma phrase j'avait l’impression d'avoir dit une connerie

— 15 ans que tu es assassin tu as du commencer tôt à t’entraîner, ce n'est pas trop dur? Tes parents sont encore assassin?

Quand il prononça ces mots, elle sentit son expression se durcir et elle se renferma en elle même. Même après les avoir vengés elle ne s'était pas encore remise de leur mort. Elle reprit alors, plus faiblement.

— Non ce n'était pas dur. J'avais un bon mentor. Mais il a été un dommage collatéral quand mes parents ont été assassinés.

Elle haussa simplement les épaules, comme si tout ça ne la concernait pas. Elle précisa alors.

— Leur intermédiaire les a vendus. Un homme avec beaucoup d'argent n'a pas aimé un de leurs contrats et leur a fait payer. Quant à mon mentor... je l'avais moi-même appelé en lui demandant de m'attendre chez moi.

Elle sourit tristement, se sentant toujours coupable à propos de ça. Réprimant un soupir elle se pencha et joignit ses mains sur lesquelles elle posa son menton.

— Assez parlé de moi, quelle est ton histoire ?

Vu son opinion sur le meurtre, elle s'attendait à une histoire heureuse et simple, celle de toute famille régulière mais fut vite détrompée.

Apres avoir prononcer mes mots son expression se durcit et elle m'expliqua son histoire calmement :

— Non ce n'était pas dur. J'avais un bon mentor. Mais il a été un dommage collatéral quand mes parents ont été assassinés.

elle haussa les épaules comme si elle était passé outre sa

— Leur intermédiaire les a vendus. Un homme avec beaucoup d'argent n'a pas aimé un de leurs contrats et leur a fait payer. Quant à mon mentor... je l'avais moi-même appelé en lui demandant de m'attendre chez moi.

Un sourire triste apparut sur son visage, je ne savais pas quoi lui repondre, réconforter les gens des fois je sait le faire des fois non, elle me posa une question dans le file de la conversation

— Assez parlé de moi, quelle est ton histoire ?

Je n'avais pas raconter mon passé à beaucoup de monde jusqu'a la mais elle c'etait ouverte à moi je peux le faire aussi d'un sourire légerement forcé je lui dit :

-Une histoire peu banal mais pas extraordinaire, qui a pour faute la malchance ... Jeune mais parent se sont fait assassiné devant moi, par un pauvre clodo qui voulait les voler. La vie est faite d'aléa, il faut savoir les surmonter. On est fait du même bois tous les deux, des combattants...

Je la regardais dans les yeux attendant une réponse de sa part

En voyant un sourire forcé se former sur ses lèvres, elle sut d'avance qu'il n'allait pas lui raconter l(histoire classique d'une famille heureuse.

— Une histoire peu banale mais pas extraordinaire, qui a pour faute la malchance ... Jeune mes parents se sont fait assassinés devant moi, par un pauvre clodo qui voulait les voler. La vie est faite d'aléa, il faut savoir les surmonter. On est fait du même bois tous les deux, des combattants...

Elle ne put s'empêcher d'éprouver de la sympathie pour Léo, elle-même sachant très bien ce qu'on éprouvait lorsqu'on perdait ses parents, même si elle avait perdu les siens plus tard, lorsqu'elle avait déjà commencé à acquérir une certaine indépendance. Le voyant attendre une réponse de sa part, elle lui dit, regardant de côté pour éviter son regard.

— Je suis désolée de t'avoir fait raconter ça...

A ce moment, elle se fichait assez de son image d'assassin, qui avait sans doute déjà été brisée par ses actions précédentes. Voulant continuer sur une note plus positive elle lança un sourire aux coins des lèvres.

— Alors le boxeur... Tu gardes des capacités pour le ring ou tu les utilises aussi dans des circonstances plus... illégales ? Vu la vitesse à laquelle tu t'es mis en garde je pencherais plutôt sur la deuxième hypothèse. Ça ne te cause pas de problèmes avec ta vision pure du monde ? rajouta-t-elle, sarcastique.

Elle évita mon regard, et me dit doucement

— Je suis désolée de t'avoir fait raconter ça...

Je lui repondu directement

-Non c'est moi qui est lancée le sujet !

Un sourire au coin des lévres elle me dit d'un ton sarcastique

— Alors le boxeur... Tu gardes des capacités pour le ring ou tu les utilises aussi dans des circonstances plus... illégales ? Vu la vitesse à laquelle tu t'es mis en garde je pencherais plutôt sur la deuxième hypothèse. Ça ne te cause pas de problèmes avec ta vision pure du monde ?

Effectivement mes capacités me servaient hors du ring, de plus en plus d’ailleurs. Avec se trafique de drogue, se famaux grey et "l'entrainement" de caelys j'utiliser de plus en plus mes capacité pour autre chose que la boxe et maintenant je me retrouve à parler avec un assassin, je fait de plus en plus de rencontre fortuite c'est temps si, je me mit à sourire.

-Comme tu le dis mes capacités servent à beaucoup de chose pas forcement légal. Ma vision du mon est effectivement pure et égoïste, mais dans se monde il est assez dure de rester toujours le même...

Une pensée me traversa l'esprit. D'un coup sec et rapide dans l'eau, j'arrosa Nearra

-Arrosé un grand assassin c'est pas donné à tous le monde

Je me mit à rire attendant les représailles

— Comme tu le dis mes capacités servent à beaucoup de chose pas forcement légales. Ma vision du monde est effectivement pure et égoïste, mais dans ce monde il est assez dur de rester toujours le même...

Nearra ne put qu'approuver ses paroles d'un hochement de tête. Alors qu'elle ouvrit la bouche pour lui poser une autre question elle sentit de l'eau sur elle et entendit Léo lancer.

— Arroser un grand assassin c'est pas donné à tout le monde

Elle resta bouche bée un bon moment. Il avait osé l'arroser. Elle. Et il rigolait. Rigolait alors qu'elle aurait normalement tué sans arrière pensée celui qui avait fait ça. Mais avec lui elle planait un autre type de revanche. Se levant, elle s'élança vers lui et tenta de le faire tomber dans l'eau. Malheureusement, il était plus fort qu'elle et alors qu'il trébucha seulement, elle tomba à la renverse dans la rivière, qui n'était pas profonde. Sentant de la douleur à l'arrière de son crâne, elle y porta ses doigts avant de les ramener devant ses yeux, couverts de sang. Elle dit alors, encore choquée.

— Tu as vraiment osé... Tu es mort, vraiment mort.

Alors qu'elle se relevait avec peine une idée lui vint à l'esprit et elle lui lança, en montrant ses doigts recouverts de sang.

— Alors, tu comptes faire quoi à propos de ça ?

Elle resta bouche bée c'étais sans doute la premier foi qu'une personne l'arroser. Avais-je étais trop famillier? Elle entreprit de me pousser dans la rivière malheureusement, en resistant je trebucha et je l’entraîna contre mon plein gré dans une chute vers la riviere, peu profonde. Mais apres la chute elle saigné, elle avait plein de sang sur les doigt et elle me dit choqué

— Tu as vraiment osé... Tu es mort, vraiment mort.

Ignorant ses paroles je sauta dans l'eau, la rejoindra, je me mit de telle façons pou voir l'arriere de son crane

-Tu es coupé, ca n'as pas tres grave mais il faut aller désinfecter, tu peux te lever? Je suis vraiment desoler je voulais pas...

Je lui tendit ma main pour qu'elle se relève, j'étais en panique j'avais dit sa pour la rassurer je ne savait absolument pas si la blessure étais grave ou pas... elle ajouta

— Alors, tu comptes faire quoi à propos de ça ?

Je la regardais hesitant...

-Tu veux que je t'accompagne quelque part pour te soigner, un medecin? Je dois avoir une trousse de soin dans mon appartement mais c'est assez loin ...

Je m'inquiéter, et je m'en voulais. Je ne peux pas tenir 5mn avec une personne sans lui faire du mal. Je te jure je suis pas douer !

— Tu veux que je t'accompagne quelque part pour te soigner, un medecin? Je dois avoir une trousse de soin dans mon appartement mais c'est assez loin ...

Nearra ne put s'empêcher de voir son expression s'adoucir à ces mots. Bien sur elle avait espéré qu'il l'aide mais il semblait sincèrement inquiet. Maintenant ne restait plus qu'à lui répondre. Si elle lui demandait de l'accompagner voir un médecin ou à l'hôpital il accepterait surement mais si elle lui demandait d'aller à son appartement.... et bien l'ayant lui même proposé elle pouvait bien prendre quelques risques.

— Et bien... Je n'aime pas vraiment aller chez le médecin... Et puis je ne vais pas à l'hôpital à moins que la blessure soit très grave et je ne pense pas que ce soit le cas....

Le regardant avec espoir elle rajouta.

— Et puis... qui n'a pas envie de voir à quoi ressemble l'appartement d'un boxeur ?

Son expression s'adoucit à mes mots sa me fut plaisir, elle me demanda hésitante

— Et bien... Je n'aime pas vraiment aller chez le médecin... Et puis je ne vais pas à l'hôpital à moins que la blessure soit très grave et je ne pense pas que ce soit le cas...

Elle ajouta en me regardant

— Et puis... qui n'a pas envie de voir à quoi ressemble l'appartement d'un boxeur ?

Mon appartement, va surement la surprendre, je ne pense pas qu'elle l'imagine bien mais bon si lui faire visiter peux me faire pardonner, je regarda brièvement le ciel et lui répondu

-Si tu veux aucun problème ! Tu pense reussir à marcher jusqu'au quartier nord ou tu veux que je te porte?

Je le regarder avec le même sourire que d'habitude. J'invite un assassin dans mon appartement, je doit être fou

Alors qu'elle était anxieuse en attendant sa réponse, il lui répondit avec le sourire aux lèvres.

— Si tu veux aucun problème ! Tu pense réussir à marcher jusqu'au quartier nord ou tu veux que je te porte?

Et bien, il devait être assez riche pour vivre sans le quartier nord. Quant à sa dernière question... depuis le début ses envies l'avaient emporté sur sa raison. Mais cette fois-ci elle ne pouvais pas, vraiment pas accepter qu'il la porte. Et puis ça devait bien être écrit quelque part dans le code du tueur à gage qu'elle ne pouvait pas accepter... n'est-ce pas ?

— C'est bon, je devrais pouvoir réussir à marcher un petit moment...

Avant de se mettre en marche elle retint son attention en se racla la gorge et rajouta, avec gratitude.

— Merci... Pas grand monde aurait accepté en connaissant mon métier.

Je ne m'attendais pas à ce qu'elle accepte mais si elle ne pouvait pas marché, je l'aurais aidé.

— C'est bon, je devrais pouvoir réussir à marcher un petit moment...

Si elle peut marché c'est une bonne nouvelle, c'est que sa n'est pas si grave. On se mit en route puis elle me remercia

— Merci... Pas grand monde aurait accepté en connaissant mon métier.

En même temps elle n'avait pas l'air méchante, elle faisait juste un métier un peu particulier

-Oui enfin c'est un peu de ma faute si tu es dans cette état. Mais c'est vraie que ton métier est discriminé vous avez même pas de congé payé, vous devriez faire gréve ! dis je en rigolant

Peut être devrais je arrêter avec se ton familier et ces blagues. Elle restait un assassin et elle avait sa fierté... Je lui dit d'une voix lasse

-Desoler