description:

Une rue banale qui se situe proche de l'hôpital

Je suis à la rue ? Façon de parler, c'est très bizarre j'ai toujours mes pouvoirs , et souvenirs.  Quoique j'ai quelques trous. inutile de réfléchir je ne peux pas revenir en arrière. Suis-je toujours la même ou bien ai-je changé ? Des questions qui se posent, et qui seront sans réponse. Le mystère reste intact. J'ai envie de crier au monde ce que je suis ! On me prendrai simplement pour une folle avec un grain en moins.

D'un coup d’œil vif Elliade remarque la routine  

Encore eu je les avaient presque oublier ces enfoirés  

Un groupe de racaille du quartier nord, si on peut les appeler racaille . Ils ne sont pas excessivement mauvais, mais ils sont un peu lourds dans leurs genres.  

Madame vous seriez pas riche par hasard . Parce que votre visage brille comme l'or de Babylone  

Le groupe rigoles

Juste à les ignorer Elliade ça ne sert a rien de les taper

Derrière ces rires ce cache une vrai victime au coin de la rue. Une personne qui cour fuyant quelque chose  des masses noir  

A moi de jouer

Après une douche, quelques conseils supplémentaires et un encas bien mérité, je sors du building tranquillement, me dirigeant vers le bar. Un soir de service m’offrant une pause dans ma vie de contractant, un instant précieux – ce n’est peut-être pas le métier le plus passionnant, mais il me plaît. Chaque soirée se ressemble tout en étant différente, et un panel très large des habitants de la ville m’est dépeint ; l’alcool délie les langues comme dit l’adage. A force, je m’amuse parfois à imaginer à quoi ressembleraient les inconnus que je croise s’ils avaient quelques grammes dans le sang, et c’est assez amusant.

Mais une sensation familière vient couper court à mon jeu, tandis que je marche encore dans le quartier riche de la ville. Quelqu’un se fait agresser non loin de moi, et il est de mon devoir de la protéger – si j’ai cette capacité, c’est bien pour m’en servir. Rapidement, je repère du grabuge ; un type se fait poursuivre par des ombres. Contractant, ou humain ? Blanc, noir, ou rien ? Des questions auxquelles j’aurai la réponse bientôt.
Je me cache rapidement derrière un panneau publicitaire, et déploie mon Kekkai. Logiquement, le gars est enfermé dedans, mais j’aperçois une silhouette qui se dirige dans la même direction, une femme aux cheveux bleus… Pas le temps pour la réflexion, j’emboîte la course de la demoiselle pour venir porter mon aide au fuyard ; et je tente un petit tir pour ralentir les assaillantes.

[3 Ombres : 5 – 4 – 2, ça te va ?]

[1 : Le tir touche le type à la jambe, le faisant chuter
2-5 : rien
6 : le tir touche l’ombre de niveau 2 à la jambe et la lui arrache.]

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'Dé classique' :

Un kekaï de l'aide face a ces trois ombres n'est pas de refus, Je dois toute de même faire attention a moi si je cache que je suis, non je vais voir sur le tas.  J'ai toujours mon arme sur moi au cas où. Si je n'arrive pas a temps l'homme va se faire tuer sous mes yeux.  

J'entend un tir, qui s'échoue sur le coté. Tant pis c'était bien essayer. avant de commencer mon sprinte je lui dis  

Merci du coup de main .

ça va encore mal se finir je le sais , et pourtant j'y vais. Je me demande ce qui fait que je suis comme ça .

Une fois a coté de l'homme elliade sort son épée pour parer les coups porter par les ombres.

Excusez moi je viens vous sauver.


Les jets de dé

1, 5 et 2 pare les coups sans problème

3 Elliade recule et trébuche a cause du pied de l'homme

4 Elliade pare , et découpe le bras de l'ombre (plus bas level)

6 les coups sont parés avec larme mais Elliade utilise son bras pour défendre l'homme

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'Dé classique' :

Bon, ma précision laisse à désirer. Mais la jeune femme semble être plus dégourdie que moi et pare sans problème les coups qui allaient atteindre le pauvre hère ; me remerciant au passage. Charmante attention dans une situation d’urgence, mais qui me parait un rapide : on pourrait très bien être de camps opposés et cela pourrait tout à fait être un piège. Mais jouons la bonne foi pour ce combat, je n’ai pas envie de faire le paranoïaque en même temps que je porte assistance à quelqu’un … Il faudra attendre que l’humain soit hors de danger.

Retour à l’action. Trois ennemies, deux personnes et une victime – le combat n’est pas équitable, et encore moins si je n’accélère pas la course pour lui porter main forte. Donc, je me mets à sprinter en direction du groupe et plaque le première ombre que j’atteins, arme qui fait feu en même temps. Limité par les conditions de mon pouvoir, je ne peux pas déployer une barrière pour protéger mes arrières ; mais j’imagine que mon allié temporaire le fera très bien. Dans le cas contraire, ce serait fâcheux pour moi – un petit peu.

[ 1- 2 : C’est l’ombre 5, blesse l’épaule.
3 – 4 : C’est l’ombre 4, perce sévèrement son bras gauche
5 : C’est l’ombre 2, arrache bras et épaule droites
6 : Tue l’ombre 2]

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'Dé classique' :

Je pare bien les coups il y a un coup que j'ai bien sentie passé. Il y a une plus forte que les autres.Il faut que je fasse quelque chose pour utilisez tout mes moyens.

L'humain était choqué de ce qui  lui arrive.Il reste statique

Monsieur je suis désolé de vous dérangez, mais vous devez fuir loin d'ici pour vivre.

Une ombre en moins un attaque quasi suicidaire si je ne l'aide pas, je compte bien le faire. Je souris, j'aime la confiance qu'il me donne j’espère pas que je vais me faire trahir l'instant d'après.

L'homme court vite et loin.

Très bien c'est maintenant du deux contre deux

Une ombre saute sur Howard profitant de son manque de protection et l'autre saute par la suite pour attaquer Elliade.

C'est maintenant ou jamais de sauver cette mon petit collègue.

Elliade donne un coup de plat de son épée pour faire valser l'ombre qui attaque Howard. Elle sépare son arme pour prendre une la plus légère et faire tomber le plus lourd par terre  

Je vais être plus agile comme ça  

A ton tour ma grosse

12 L'ombre est empalé sur l'arme d'Elliade encore vivante

34 L'ombre esquive le coup d'Elliade et griffe le bras d'Elliade en coup sauté

56 L'ombre esquive le coup attaque Howard, Elliade s'interpose lui octroyant une grosse quiffure dans le dos

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'Dé classique' :

J’ai à peine de me retourner pour faire à nouveau face à mes petites ennemies qu’une lame s’offre un petit tête à tête avec ma personne. Et embrochée dessus, pire qu’une dinde, une ombre qui gigote encore. Achever ce petit spécimen ne devrait plus être compliquée, étant donné que la longue épée a assez de marge pour que limiter les mouvements de la ‘grosse’ à une espèce de brasse peu esthétique et très aérienne.

J’attrape de ma main gauche la tête énervée et mets un terme à la courte vie de cette chose – d’ailleurs, peut-on appeler ça une vie ? Grande question. Toujours est-il que je veuille à ce que ma balle parte dans une direction ou rien de bien mobile ne puisse arrêter sa course, et je redescends mon arme tranquillement.

Soudain, je sens une de mes jambes défaillir et m’amener genoux contre terre. Merde. Elles étaient trois. Une erreur abrutie, et voilà que le gamin parti la dernière se décide à s’en prendre à moi – une chance qu’elle ait commencée par tenter de me couper les jarrets pour me flanquer au sol et ainsi m’achever. La situation est bien fâcheuse, je le concède, mais loin d’être perdue. L’amatrice punk de barbecue à mes côtés est encore debout elle, et j’imagine qu’elle ne s’enfuira pas sans une dernière coupe.

Ou alors, j’ai vraiment tout foiré sur ce coup. Tournant rapidement la tête, je vois de coin la masse sombre sauter, toutes griffes sorties, en direction de mon dos pour me le lacérer salement. Chic.

L'ombre est plus vivante que jamais heureusement qu'elle n'a pas la porté pour me tuer. Il s'est passé une chose qui m'a surprit. Mon collègue était du genre un peu, énerver il y a pas d'autre mot. c’était sauvage , mais efficace. Je remarque que la dernière ombre était encore active. Elle coupe même les jambes de mon ami de bataille.

Elle tente un coup pour l'achever, je ne vais pas avoir le temps de contre attaquer.

Elliade saute pour atterrir devant Howard et prendre le coup a sa place. Une griffure profonde qui commence de l'épaule , et qui fini aux hanches.Elle se met à crier de douleur.  

Je ne suis pas fini  

Malgré sa blessure Elliade continu le combat a main nue ses coups son inefficace, et elle ne tiendra pas longtemps sans son arme.

Fait quelque chose même si tu as mal nous verrons ça ensuite

Dit elle au blond tout parant les petits coups avec ses bras et en esquivant les autres.  

Joli saut, je mets un dix ! Humour à part, cette punk vient vraiment de me protéger d’une sacrée entaille, et je me dois de prendre le relai désormais – surtout qu’elle est désormais maintenant. Une inspection rapide de mes chevilles m’apprend la bonne nouvelle qu’aucun de mes tendons n’a été touché ; je n’ai qu’une vilaine blessure sur un mollet. De quoi m’imposer un sérieux boitement pour le reste du combat, mais rien de paralysant.

« - Merci, compte sur moi ! »

Alors, je me relève prestement et passe ma main devant mon alliée d’une fois pour poser une barrière la séparant de l’ombre ; ensuite, je m’appuie sur ledit mur pour accélérer mon approche de l’ombre et vient lui frapper la crâne de mon revolver, tirant une balle sur le retour qui lui blesse l’épaule. L’instant suivant, je joue de ma jambe intacte pour reculer rapidement et poser à nouveau mon pouvoir pour que notre ennemie soit obligée de faire un détour pour m’atteindre, obstruant ainsi sa route vers ses deux cibles.
Cette fois-ci le mur devrait tenir quelques temps, peut-être assez pour la jeune femme puisse récupérer son arme.

[1 : Je suis trop lent, l’ombre m’a blessé à l’épaule gauche violemment avant que je suis me protéger
2 : Idem, mais la blessure est assez superficielle
3 : Je suis à l’abri indemne, mais ma balle n’a finalement que légèrement effleuré son épaule
4 : Tout a fonctionné comme je le veux
5 : En plus de ma protection, son épaule gauche est paralysée quelques temps
6 : En plus de ma protection, l’ombre chute à cause des coups.]

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'Dé classique' :

C'est Brûlant dans le dos , et en même temps, ça picote. Une action qui vaut chère. Je souffre un peu, mon allier a comprit la situation. Moi de même qu'un bouclier est apparût sur moi, il provient surement de lui. j'en profite pour ramasser mes deux arme , et les fusionner.  

D'un regard sur de soit, et toujours le sourire même avec la brèche dans le dos.  

Une balle dans l'épaule parfait je peux l'avoir.  

Arme en main Elliade fonce sur cette masse noir donne un coup sec l'arme découpe la moitié diagonalement et reste  coincé a l’intérieur d'elle. L'ombre perd un bras et se débat.  

1 Elle réussi a sortir et donne un coup dans le dos d'Elliade

2 Elle reste immobile et régénère

3 Elle avance et griffe les bras d'Elliade

4 Elle sort et tente de rattraper l'homme

5 Elle sort et désarme Elliade  

6 Elle meurt découpé en deux.

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'Dé classique' :

Ma jambe heurtée m’élance subitement, me forçant à nouveau à me mettre à genoux, tandis que la femme embroche l’ombre. Une impression de déjà-vu tiens, sauf que cette fois-ci le monstre est plus proche, et arrive à griffer la guerrière… Il faut vraiment que j’agisse. Je m’appuie sur mon genoux sain, me relève et avance lentement vers la large lame.

Je ne sais pas si je vais pouvoir achever l’ombre de la manière pour le coup. Elle se débat davantage, sa fureur est trop grande pour qu’une suffisse à lui maintenir la tête ; et utiliser les deux à la fois serait plus qu’abruti. A moins que j’apprenne à tirer avec les dents ? Non, c’est absurde.

Finalement, je trouve un bon compromis, qui me permet d’éviter de me vider de davantage d’énergie en produisant une nouvelle balle. Je révoque mon révolver, et attrape de mes deux bras désormais libres le flanc de l’ombre et pousse de toute mes forces vers l’épée, pour accomplir la séparation déjà entamée.

[1-2 : L’ombre ne bouge pas beaucoup, et griffe Howard au bras
3-4 : Toujours embrochée, mais bien entamée elle ne bouge plus beaucoup.
5-6 : Deux pour le prix d’une ! Le massacre est terminé]

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'Dé classique' :

Il faut que je fasse quelque chose sinon je risque bien ma vie, mais a forcer sur mon arme je vais encore plus agrandir ma blessure. Je pense que je vais pas avoir le choix . Il arrive sans son arme que es ce qu'il veut faire ? Je vois Je vais lui donner un coup de main .

Il fait disparaître son arme cela montre qu'il n'a sans doute pas l'intention de me tuer juste après.

L'ombre se fait découper en deux , et disparaît comme si elle n'avait jamais existé.L'arme d'Elliade est elle aussi révoquer puis elle se met a genoux pour regarder la blessure d'Howard

Bouge pas je regarde ta blessure .

Bon ça n'a pas pas l'air trop grave la blessure n'est pas très profonde.Un coup de chance

Tandis que son dos coulé légèrement de sang, elle fait un bandage avec un bout de son manteau.

C'est un bout de tissu propre ne t’inquiète pas.Ta blessure n'est pas profonde tu vas pouvoir l'avoir intact bientôt.

Une fois le nœud terminer

Voilà on devrait aller voir l'autre homme il doit être un peu choqué de la situation si c'est ça première fois. pour ma part je reste un peu ici je vais me reposé un peu. Tu pourras me dire tu t'appelle comment en revenant ?

Je suis un peu fatigué de tout ça, je me repose un peu , et puis je vais . . . a l'hôpital ? C'est bien la première fois que je dois y aller .

Elliade s'assoit par terre et somnole un peu

Nos armes révoquées, les ombres vaincues, je m’autorise un instant pour souffler. Selon la punk, ma blessure n’est pas exceptionnellement handicapante – tant mieux. Je ne sais pas pourquoi je lui fais spécialement confiance, mais elle m’a sauvé de griffes baladeuses, alors c’est la moindre des choses de lui offrir un peu de crédit.

Son tissu attaché à mon mollet, je me dirige vers la victime. Un jeune homme, la vingtaine ; l’air visiblement terrorisé et soulagé. Je pose ma main sur son épaule, lui sourit et parle d’une voix chaleureuse.

« - Qu’est-ce qu’il t’est arrivé ? »

Le regard hagard, il me répond difficilement.

« - Je… Je marchais dans la rue et puis ces trucs m’ont sauté dessus… Et, et, vous avez fait ce mur, et je sais pas, c’est quoi, je comprends pas ?! »

Avant que je puisse lui répondre, le type perd connaissance. Finalement, il était blessé, et l’émotion couplée à sa perte de sang a dû avoir raison de sa conscience ; ça m’évite un peu de blabla, mais je vais devoir tout de même m’occuper de lui. Je l’allonge sur le flanc, attache sa blessure en me servant de ses vêtements déjà déchirés, puis le porte jusqu’à nous rapprocher de mon alliée temporaire.

« - Je m’appelle Howard, et toi ? »

Avant de demander sa faction, faisons déjà le BABA des discussions – et si jamais elle s’avère être Nephil, je serai d’avis à ce que l’on se quitte sans davantage de processions. Un nouveau combat ne m’attire pas pour le moment, alors autant limiter la casse.

Il faut pas que je m'endors ça sent très mauvais. Bon il ne faut pas qu'il voit ma faiblesse , même si il a du voir le coup.
Ellliade passe sa main sur son vêtement pour qu'il colle au dos avec le sang.

J'espère que celui qui va me soigner sera un prodige sinon je peux dire adieu a ma carrière de guerrière et celle de mannequin aussi. Tient voilà que notre amis tombe dans les vapes. Pas a pas ils reviennent a coté de moi. Bon je vais me lever. Il faut pas que je baisse ma garde c'est possible qu'il retourne sa veste comme jamais.

Elle se lève et fait mine de rien.

Howard joli nom. Moi c'est Elliade enchantée. J'imagine que la pression était trop grande pour notre protégé. J'imagine que c'est l'heure de l'entretien ?

Jamais aimé cette phase. Casse toi t'es pas de mon équipe. Je ne comprend toujours pas. J'espère qu'il me dise qu'il est seraph, alors croisons les doigts .

Elliade ? Ce nom me dit quelque chose, de récent. Il faut que j’essaye de voir à quoi cela a exactement lien avant de trop en dire – une ennemie, ou une femme ivre que j’ai repêché sur le sol du bar ?

« - Malheureusement, oui. Quelle est ta nature, Elliade ? »

Donner la mienne l’inviterait à la copier si elle voulait s’en sortir ; ce que je pourrais tout à fait faire de mon côté à vrai dire. J’aimerais tant que l’on se quitte sans davantage de cérémonie, mais … Si elle est une Seraph, ce serait un manquement à mon devoir de la laisser ici, blessée. Parce que oui, je sais très bien que les griffes l’ont heurtée tout à l’heure, même si je n’en connais pas encore la gravité.

« - Je pourrais peut-être bander un peu ton dos si tu veux. C’est grave ? »

Pour le moment, je reste face à elle, n’entamant aucun mouvement pour vérifier l’étendue des dégâts dans son dos.
Quoiqu’il en soit, cette discussion ne doit pas trop perdurer : il y a trois blessés ici.

évidement c'est moi la première. Je pourrais dire que je suis Nephil, et ensuite Seraph. Bon non je vais dire la vérité. J’espère pas qu'il va demander ma marque parce que je ne sais pas ou elle est.

J'imagine que si tu n'as pas entendu parler de moi, c'est que tu es un Nephil. Moi je suis une Seraph. Alors que veux tu faire ?

bizarrement il veut me soigner je ne comprend pas. Peut être qu'il veut repayer sa petite dette ?

Non ce n'est pas très grave elle ma juste gratter le dos merci de t'inquiéter

Elliade garde ses mains proche de ses poche intérieur pour utiliser son pistolet en cas de dernier recours.

Je devrai sauver cette personne moi même si il devient dangereux.

Je soupire en entendant sa nature. Oui, je suis soulagé, mais une connexion se fait en même temps – le genre que j’aurais préféré ne pas faire. Dans de très récents rapports, une certaine Elliade Wood s’est faite rejetée de la faction sur ordre d’Adonis Aeson, et la description physique de la jeune femme correspond tout à fait avec la personne que j’ai face à moi.
Tristes règles de l’ordre que je me dois donc de suivre : même si elle vient de me sortir d’un sacré pétrin, j’ai pour consigne de ne pas lui apporter mon aide plus que ça ; la seule exception pourrait être une mort imminente. Mais ça ne semble pas être le cas, alors je me contenterai de partir sous peu, avec le type, et de la laisser partir tranquillement. Je suis Protecteur, je n’ai pas le droit de désobéir… Mais si jamais on me parle d’elle, je dirai qu’elle m’a aidé aujourd’hui. Je lui dois ça au moins.

« - Tu es Elliade Wood, une Solitaire, c’est bien ça ? Si c’est le cas, j’imagine que tu sais ce que je dois faire – c’est-à-dire te laisser ici et repartir avec le jeune homme, pour le soigner. »

Je me tiens face à elle, et lui tend la main.

« - Néanmoins, merci pour ce que tu as fait. Je laverai un peu ton nom si on me demande mon avis sur toi. »

C'est bien ma description, je me suis trompé c'est bien un seraph. Donc je suis devenu quelque chose a éviter. Aucune chance de réintégrer le clan alors.

Je prend sa main pour me lever. Je suis contente de ne pas a avoir utiliser mon arme.

Oui je n'en imaginé pas plus. A vrai dire je ne savais pas ce que tu allais faire. Je suis heureuse que tu ne veuilles pas te battre plus.

Si il fait ça il devra ce salir non je ne lui permet pas.

Ne fait pas ça. C'est toi qui aura des problème après. Je n'ai pas voulu tuer alors voilà ou j'en suis.Si tu appartiens a ceux qu'on appelle protecteur, sache que tu étais mon idéal .Je te remercie de m'avoir écouté.

Elliade ce lève et ce prépare a partir pour l'hôpital, avec sa blessure encore ruisselante. Le sourire au lèvre encore une fois

Une Solitaire au grand cœur, mais contre cette guerre ? C’est le bon genre de pseudo traître à mon avis. Ceux qui ont refusé de renier leur humanité et s’accrochent aux règles de leur ancien monde, qui ont encore des tas d’idéaux – des gens biens, au début. Mais le schéma classique est assez triste … Seuls, dans une société qui n’est plus pour eux, ils sombrent peu à peu dans le replie et la folie, devenant ce qu’ils voulaient absolument éviter.
J’espère que cette jeune femme ne finira pas de la sorte. Je lui adresse un petit sourire, puis lui répond chaleureusement.

« - Merci, je suis Protecteur. Fais attention à toi Elliade, accroche toi à la société autant que tu peux, et garde tes principes ; ne te replie surtout pas. Bon courage, soigne-toi bien. »

Et sur ces mots, je soulève le pauvre humain et tourne le dos à la demoiselle, m’en allant vers un coin tranquille pour relever le Kekkai.

C'est bien ce que je pensais quand il a sauter pour

Je te remercie, je te dis au-revoir tout de même .

Elliade essuie un peu sa main et la lève tout en se cachant dans un endroit sombre

Il faut vraiment un hôpital si je ne veux pas terminer ma vie ici.

C'est ce qu'elle fit. Partir en direction de l'hôpital pour faire la rencontre d'Actée